La fin de notre périple cinématographique est proche. Pour honorer comme il se doit cette belle journée du 20 décembre, on a souhaité revenir avec vous sur un tableau visuel inimitable : le prodigieux The Grand Budapest Hotel !
Le maître du merveilleux
J-5 avant que la magie ne prenne place ! La délicieuse odeur boisée du sapin vous rappelle sans cesse l’interminable attente avant le réveillon de Noël ? Pas d’inquiétude, pour vous aider à surmonter ce petit supplice, on vous propose de revivre grâce à notre Calendrier de l’Avent du Cinéphile, une séquence du film magique de Wes Anderson. Sortie dans les salles obscures en 2014, cette réalisation des plus chimériques, nous plonge au cœur des aventures trépidantes de Gustave H, propriétaire d’un grand hôtel européen de l’entre deux-guerres et de son jeune compagnon, un lobby boy.
Il persiste de faibles lueurs de civilisation dans cet abattoir barbare autrefois appelé l’humanité.
On ne saurait résumer en une seule phrase toute la finesse esthétique et la perfection scénaristique de cette œuvre véritablement hors du temps. Petit bijou visuel du 7e art, The Grand Budapest Hotel a détourné les codes cinématographiques en créant de lui-même, un univers imaginaire unique en son genre. La preuve en est avec la scène à la fois drôle et féerique, que nous nous apprêtons à (re)découvrir. Une séquence fantaisiste et mélancoliquement absurde.
Évidemment, The Grand Budapest Hotel est bien loin d’être la seule et unique œuvre emplie de magie de Wes Anderson, autrement dit, le plus rêveur des réalisateurs. À présent, qu’avons-nous pu vous préparer pour le 21ème jour de notre fameux Calendrier de l’Avent ? Réponse demain !