Je suis comme je suis, court métrage Nikon Film Festival du jeune réalisateur Louis Rambaldi, se dessine tout en légèreté et subtilité. Une douce comédie sur l’acceptation de soi, qui vous fera instantanément sourire…
Être soi-même, simplement
L’art est le plus court chemin de l’homme à l’homme.
Du haut de ses vingt-cinq ans, Louis Rambaldi a déjà tout d’un grand artiste. Pour réaliser ses courts métrages, le jeune cinéaste s’inspire des choses naturelles de la vie et transmet au public une belle dose d’émotion. C’est notamment le cas de Je suis comme je suis, une comédie légère, subtile et intime sur la liberté d’être soi-même. L’histoire se déroule au cœur d’un atelier d’art. On y fait la rencontre d’une jeune artiste peintre (incarnée par Louise Molinaro, Mon Roi) et d’un modèle vivant (interprété par Léon Garel, Les Affamés) qui s’exerce pour la toute première fois. Évidemment, une extrême pudeur se dégage de cette situation à la fois pleine d’ironie et de tendresse.
Je suis comme je suis est un film qui délivre une véritable onde positive. Il traite sous une très forme optimiste la question du partage, notion universelle au cœur de la 9e édition du Nikon Film Festival. S’accepter tel qu’on est et faire face au regard des autres avec une grande confiance et légèreté, voici la très belle moralité de ce film. Je suis comme je suis du jeune réalisateur Louis Rambaldi, est une douce comédie joviale pleine de finesse et authenticité. Une histoire qui nous ressemble sans doute tous un peu beaucoup… Pour découvrir en intégralité le film, rendez-vous juste ICI !