Pour sa quatrième participation au Nikon Film Festival, le jeune réalisateur Emeric Gallego a choisi d’illustrer la thématique du partage par le biais d’un sentiment universel, celui de l’amour.
L’amour sous toutes ses formes
C’était peut-être un désastre mais je voulais vivre ce désastre.
Comment partager l’amour ? Comment le montrer ? Comment l’avouer quand ce qu’il raconte devrait rester caché ? Tels sont les questionnements mis à l’honneur dans Je suis l’amour, probablement, une romance dramatique signée Emeric Salander. Ce court métrage réalisé dans le cadre du Nikon Film Festival 2019 évoque l’histoire d’amour interdite entre un frère et une sœur. De la rencontre à l’amitié, de la naissance des sentiments à l’inévitable séparation familiale. Une narration simple, sans aucune artifice qui délivre un message profond et chargé en émotions.
Je suis l’amour, probablement est un court métrage inspiré du vécu du jeune réalisateur. Si cette histoire reste principalement fictive (notamment les côtés incestueux et psychiatrique de l’intrigue, qui sont d’ailleurs des interprétations), de nombreuses phrases prononcées par la jeune femme permettent de dévoiler l’authentique et émouvante fraternité qui existe entre Emeric Salander et son propre frère. Un film donc très personnel, sincère, profond et ouvert à plusieurs interprétations. Je suis l’amour, probablement est une ode à l’amour qui délivre un message universel touchant. Un message d’amitié, d’amour ou bien encore de fraternité. Pour découvrir Je suis l’amour, probablement, rendez-vous juste ICI !