Finaliste de la 1ère édition du Nikon Film Festival, le réalisateur Mickael Cohen revient, neuf ans plus tard, nous conter une histoire qui fleurie dans sa tête depuis longtemps…
Naissance d’une idée, naissance d’une vie
Sa vie sera mieux avec toi.
Drame familial d’une grande intensité, Je suis le partage de la cigogne est un court métrage profond qui plonge dans les souvenirs de jeunesse d’une vieille dame atteinte de la maladie d’Alzheimer. Pour ne jamais oublier l’inoubliable, la femme âgée se remémore les moments clés de sa vie en compagnie du médecin, un homme au visage familier. Cette histoire pleine d’émotions s’invite dans l’intimité de trois personnes au destin lié : la patiente, le docteur ainsi qu’une jeune femme (qu’on découvre à travers les souvenirs) qui tente malencontreusement d’avoir un enfant. Le scénario est conçu de sorte à ce que le spectateur puisse recoller, au fil des secondes, les morceaux du puzzle. Si l’incompréhension nous guette pendant près de 2 minutes, les vingts dernières secondes sont quant à elles tout simplement saisissantes. Une chute finale pleine de sensibilité, de délicatesse et de douceur.
Pour mettre en lumière ce drame familial profond, Mickael Cohen s’est entouré d’acteurs qui se sont faits un nom grâce à la télévision. On retrouve en tête d’affiche Vanessa Guide (No Limit), Shirley Bousquet (Caméra Cachée), David Mora (Scènes de ménages), Marie-Christine Adam (Sous le soleil) ou encore Nicky Naude (La Mémoire dans la peau). Avec cette réalisation, le réalisateur a souhaité mettre en lumière des questions actuelles liées à la famille telles que l’adoption, la gestation pour autrui ou encore l’envie et la possibilité de donner la vie. Des sujets importants et surtout omniprésents au sein de notre société. Ce court métrage illustre donc avec une grande délicatesse, la notion du partage qui est au cœur de la 9e édition du Nikon Film Festival. Pour découvrir en intégralité Je suis le partage de la cigogne, rendez-vous juste ICI !