Comédienne de formation, Manon Allender a souhaité dépeindre dans un premier court métrage Nikon Film Festival, les ravages de l’amour. Une romance dramatique sous tension, en co-réalisation avec Stéphane Ridard.
La folie de l’amour
À travers un court métrage audacieux et puissant, la comédienne Manon Allender et le réalisateur Stéphane Ridard se sont intéressés avec vivacité et ardeur à l’amour destructeur et obsessionnel. Je suis un peu, beaucoup, à la folie est un drame raconté par le biais de l’imagination d’une jeune femme (interprétée par Manon Allender en personne). On y fait la connaissance de Léa et Louis, deux jeunes inconnus touchés par le coup de foudre. De cette belle rencontre soudaine va naître une romance, certes idyllique, mais belle et bien ravageuse.
De l’enchantement à l’étouffement, cette histoire d’amour à l’apparence ordinaire va rapidement se transformer en une passion véritablement destructrice. La jalousie, le manque de confiance et la possessivité vont provoquer, jour après jour, l’inévitable chute de ce couple. Je suis un peu, beaucoup, à la folie est un court métrage universel, réalisé avec une grande sincérité. En l’espace de 180 secondes, on se laisse aller à cette romance en partageant l’intimité de ce couple, des premiers émois à leur première dispute. Mention spéciale pour la musique sublimée par Romain Allender, qui n’est autre que le frère de la réalisatrice. Une mélodie qui épouse parfaitement les images, les rendant plus vivantes, plus vraies, plus profondes. Pour découvrir en intégralité Je suis un peu, beaucoup, à la folie, rendez-vous juste ICI !