Pour leur participation au Nikon Film Festival, Antoine et Romain ont choisi de parler de l’enfance, une très belle thématique bercée par des rêves qui, en grandissant, deviennent trop souvent illusoires…
Pourquoi l’enfance serait-elle toujours une période synonyme d’innocence ? À travers ce court métrage à portée universelle, les deux réalisateurs tentent de répondre à cette question existentielle. Quand je serai grand met ainsi en lumière le portrait de cinq enfants devenus grands. On y découvre la triste réalité qui existe entre les songes d’une jeunesse oubliée et la vie « d’adulte ». Et si ces cinq personnes ont choisi des parcours différents, tous se rejoignent pourtant sur une même finalité : comme beaucoup d’entre nous, ils ont trahi leurs rêves d’enfants.
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Quand je serai grand est un court métrage qui nous incite à réfléchir sur la vie, ses choix et ses éternelles conclusions. À l’image du film d’animation de l’école des Gobelins Burn-out, cette oeuvre est une invitation au souvenir de l’enfant que nous avons oublié et perdu, quelque part tout au fond de nous. Et si la réalité est différente de celle que nous imaginons du haut de notre jeune âge, nos rêves sont quant à eux bien réels. Antoine et Romain ont choisi de conclure leur film sur deux images particulièrement symboliques, mais on vous laisse les découvrir par vous-même ! Quand je serai grand rappelle ainsi l’importance de ne pas oublier qui nous sommes et d’où nous venons…
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