Inutile de le présenter, Le repas dominical de Céline Devaux est tout bonnement un classique du cinéma d’animation. Un court métrage mélancolique et frénétique qui …
« Anamnesis-Henosis » : L’union sublime de la musique à l’image
Poétique et enivrant, le court métrage Anamnesis-Henosis de Michaël I. Sewandono est une véritable source d’inspiration. Lumière sur cette oeuvre d’une beauté visuelle et sonore …
« D’un château à l’autre » : La rencontre entre deux générations
Pour ce troisième jour de La Fête du Court Métrage 2020, on partage avec vous une oeuvre bouleversante d’émotion : « D’un château à l’autre » du réalisateur Emmanuel Marre.
« L’Heure de l’Ours » : le récit intime d’une liberté
Pour ce deuxième jour de La Fête du Court Métrage, on revient sur L’Heure de l’Ours, une oeuvre purement fantomatique réalisée par Agnès Patron, talent 2020.
« Make It Soul » : un arc-en-ciel de couleurs
C’est parti pour La Fête du Court Métrage… à la maison. L’occasion pour nous de revenir sur une magnifique réalisation signée Jean-Charles Mbotti Malolo, l’un …
« Wierność » : Une délicate réflexion sur le concept d’amour libre
Lumière sur « Wierność » du réalisateur polonaix Iwo Swiłło. Un court métrage subtil et délicat qui nous offre une très belle définition de l’amour.
« The distance between us and the sky » : Une mise en scène de maître
Une nuit. Deux hommes. Deux inconnus. Une station-service. 22€50. Un scooter. Voici les mots qui renvoient au très touchant courtmétrage de Vasilis Kekatos, « The distance between us and the sky ».
« Mujer sin Hijo » : Portrait de la solitude
Présenté au Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand, « Mujer sin Hijo » de Eva Saiz est une oeuvre délicate qui met en lumière le portrait de deux solitudes différentes.
« Pile Poil » : La comédie familiale auréolée d’un César
L’irrésistible comédie familiale Pile Poil a reçu le César du Meilleur Court Métrage 2020. Une réalisation à la fois drôle et culottée co-réalisée par Yvonnick …
« Live » : Les dérives d’une société ultra connectée
Avec son court métrage « Live », Louis Tolleron réalise une parfaite satire sociale pour dénoncer les travers d’une société sous l’emprise permanente du numérique. Une comédie miroir de notre monde actuel…