Pour ce deuxième jour de La Fête du Court Métrage, on revient sur L’Heure de l’Ours, une oeuvre purement fantomatique réalisée par Agnès Patron, talent 2020.
« L’Heure de l’Ours » : le récit intime d’une liberté

Le court métrage sous toutes ses formes
Pour ce deuxième jour de La Fête du Court Métrage, on revient sur L’Heure de l’Ours, une oeuvre purement fantomatique réalisée par Agnès Patron, talent 2020.
C’est parti pour La Fête du Court Métrage… à la maison. L’occasion pour nous de revenir sur une magnifique réalisation signée Jean-Charles Mbotti Malolo, l’un …
Touchant par sa sincérité, drôle par sa spontanéité, « Amour(s) » de Mathilde Chavanne se présente comme notre grand coup de coeur du 42e Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand.
Unique par sa forme, puissant par sa résonance, « Physique de la tristesse » de Theodore Ushev est un court métrage animé qui fait face à la nostalgie de l’enfance. Une nostalgie qui, un jour ou l’autre, nous ramène inévitablement dans le passé…
« Girl In The Hallway » de Valerie Barnhart est un bijou du cinéma d’animation qui ne peut laisser indifférent. Retour sur une oeuvre puissante, aussi bien visuellement que moralement.
Réalisé par deux jeunes réalisatrices, le court métrage « Yiórgos » met en lumière l’émouvant récit d’une génération entière.
Réalisateur et photographe, c’est par le prisme de l’image que Johan Amselem a choisi de partager des histoires qui lui sont chères. Pour sa participation au Nikon Film Festival, il a souhaité mettre en lumière une sombre partie de l’Histoire de France…
Telle œuvre qu’on ne saurait oublier, « Le bonhomme de neige » de Dianne Jackson continue, plus de trente-ans après sa création, d’émerveiller le regard innocent des petits et la nostalgie des plus grands.
La simplicité apparaît souvent comme le plus beau des cadeaux. À l’approche de Noël, on a souhaité vous offrir à travers ce court métrage, un présent teinté de délicatesse et de subtilité.
Kelsi Phung et Fabien Corre, deux étudiants de l’école des Gobelins, questionnent notre rapport au genre et à l’identité dans un court métrage sur la recherche de soi. Son titre ? « Les lèvres gercées »