Dans son court métrage Camille, Emeric Gallego brise le silence sur le sexisme dans le monde du cinéma. Découverte.
Fiction
« Charlotte et son Jules » : l’éternel monologue de Jean-Paul Belmondo
Nous vous proposons de redécouvrir l’un des premiers rôles de Jean-Paul Belmondo, tel un hommage à ce monstre sacré du cinéma français.
« Love » : une ode à l’amour qui rappelle l’essentiel
Le jeune réalisateur Emeric Gallego livre une magnifique ode à l’amour et à la vie dans sa série de collages baptisée « Love ».
« Monopol » : une relecture colorée et inventive du célèbre jeu de société
Le réalisateur Brice Lava propose une relecture inventive, colorée et surprenante d’un célèbre jeu de plateau. Découverte.
« Amour » : la vérité derrière le jeu de séduction
La séduction est-elle un jeu ? Peut-être, mais pas l’amour. Telle est la question que se pose Pauline Romane dans son court métrage.
« Le witzer » : saurez-vous relever le défi ?
En vous laissant guider par cette intrigue jouissive et surprenante, il est fort probable que vous finirez par vous faire piéger…
« L’incroyable voyage d’Henriette » : un hommage onirique à ceux qui ont rejoint les étoiles
À travers cette œuvre bouleversante, la comédienne et réalisatrice rend un dernier hommage à sa mémé décédée. En effet, Vanessa Luna Nahoum a décidé de transformer sa profonde tristesse en quelque chose de lumineux et à l’image de son univers artistique.
« Des étoiles dans tes yeux » : la fierté d’un père, le poids d’un fils
Pour sa troisième participation au Nikon Film Festival, Pauline Pouchin a tout misé sur la délicatesse et l’émotion. La preuve avec ce très beau court métrage baptisé « Des étoiles dans tes yeux ».
« Le coucou » : une roulette russe d’une beauté meurtrière
C’est le coup d’envoi de la onzième édition du Nikon Film Festival. Pour démarrer cet incontournable rendez-vous annuel, nous avons fait le choix de mettre en lumière un court métrage obscur, élégant et puissant.
« Mortenol » : vengeance et émotions
Les émotions sont à fleur de peau et se déchainent pendant près de trente minutes. Sans jamais tomber dans le pathos, « Mortenol » entend s’exprimer sur un sujet très sérieux et virulent.